Un jour, François marche avec frère Léon sous un froid glacial. Il lui explique que la joie parfaite ne réside ni dans le savoir, ni dans les miracles, ni dans la reconnaissance des hommes.
Pour François, la joie parfaite naît de l’humilité et de l’amour inconditionnel de Dieu, même au cœur des épreuves, une conviction qu’il puise dans l’Évangile.